Mardi 17-02-2009 et Mercredi 18-02-2009 à MEXICO
À partir de Teotihuacan, bus et métro nous amènent au Zocalo de Mexico, qui se nomme aussi Plaza de la Constitucion. Stéphane s’attendait à une place avec arbres et fleurs; ce sont des dalles de ciment qui recouvrent la place. Première petite déception. Deuxième surprise: la cathédrale est croche, surtout son Sagrario (Sacristie, en fait grosse chapelle latérale). En marchant à l’intérieur de la cathédrale, on perçoit facilement que ce n’est pas du tout droit. Mexico est bâtie sur un ancien lac asséché. Tout Mexico a des problèmes car le fond n’est pas solide; cela, sans compter l’effet du tremblement de terre de 1985.
Un trajet de 3 heures dans un Bus Turistico change rapidement les préjugés que nous avions sur cette méga-métropole. Dans le très vaste centre historique et dans les quartiers avoisinants que nous avons parcourus, Il y a beaucoup d’arbres, de places fleuries, de grands boisés, de belles et larges avenues, de belles fontaines, de nombreux monuments. C’est une très belle ville. C’est aussi très propre; beaucoup de balayeurs de rues sont constamment à l’œuvre; en plus, dans toutes les villes et villages, ici, les gens font ce que le maire Tremblay aimerait voir les Montréalais faire : ils balaient leur perron, le trottoir et la rue itou. Nous avions constaté cette propreté dans le métro : un métro qui par ailleurs, roule sur des pneus comme à Montréal; d’ailleurs certains wagons ont été fabriqués par Bombardier.
Aux abords de la ville, il y a du monde partout. La circulation est toujours dense; l’heure de pointe ne semble plus finir et est particulièrement sensible au retour : 45 minutes d’autobus pour nous rendre le matin vers 10h00, 1h40 le soir au retour; qu’on parte du terminus à 18h30 ou 19h30 ne fait aucune différence; à 21h00 sur le périphérique, c’est encore la congestion totale; ne pas s’y aventurer si on est un touriste, surtout avec un camper. Et on ne parle pas des trains du métro aux heures de pointe : faut pas être claustrophobes; nous avons laissé passer quelques trains, trop bondés, et n’avons pas trop souffert de cette densité. Il faut dire que plus de 6 millions de personnes utilisent le métro chaque jour. Dans la ville, les artères principales sont aussi très achalandées, mais on a malgré tout une sensation d’espace, tant sont larges les avenues, les places publiques et les espaces verts.
Nous visitons le Palacio de Bellas Artes, réputé pour les œuvres de six grands muralistes du Mexique qui en ornent l’intérieur, de style Art Déco; l’édifice lui-même, en marbre de Carrare, est très beau et date du début du XXè siècle. Nous prenons un dîner léger au restaurant du Palacio : « budin poblano », une sorte de lasagne à base de tortillas empilées, avec une garniture de poulet à la sauce verte – piment poblano et pesto de coriandre; délicieux; le « pastel chocolate intenso » déçoit cependant Stéphane, car le goût du chocolat est loin d’être intense; ça est loin de battre son fameux morceau dégusté lors du Carnaval de Québec, il y a deux ans, n’est-ce pas, André et Manon? Ainsi sustentés, nous marchons rapidement vers le Palacio National, où il faut voir les murales qui racontent l’épopée du Mexique, telle qu’illustrée par Diego Riviera, dans des fresques auxquelles il a consacré 25 ans de sa vie.
Ici, palais du gouvernement oblige, on nous fouille; on saisit le canif de Stéphane; on exige une pièce d’identité avec photo; nous présentons comme pièce d’identité notre copie de permis de conduire qui date de Ciudad Victoria; ça passe comme dans du beurre! Lisette engage une guide qui a à peine un peu plus de 30 minutes avant la fermeture pour nous raconter les fresques. Comme c’est moins cher et surtout, plus rapide en espagnol (la guide parle aussi français), Lisette l’a engagée en espagnol. Pauvre Stéphane. Son débit rapide sera pour lui très éprouvant; se concentrer pour un vieux retraité en fin de journée comme ça, c’est dur. Mais la charmante guide devait utiliser des mots simples, le vieux a compris 80% des explications. Peut-être que les œuvres parlent aussi beaucoup. Donc un crash-course sur l’histoire des peuples qui ont formé le Mexique d’aujourd’hui; sur les héros de l’indépendance (1810); sur les défenseurs de la patrie lors de la guerre contre les États-Unis (1847), ayant abouti au traité qui a permis à l’envahisseur d’acheter – pour une somme ridicule- et d’annexer une grande partie du territoire mexicain (Californie, Nouveau-Mexique, Texas, Utah, Arizona, une partie du Colorado); de la Révolution de 1910, pour renverser le régime économiquement libéral mais politiquement répressif de Porfirio Diaz. En sortant, sur la place du Zocalo, nous avons droit à une représentation impromptue d’une danse cérémonielle réalisée par des danseurs et danseuses indigènes en vêtements d’apparat.
C’est incroyable que, dans les écoles d’Amérique du Nord, on nous enseigne si peu de choses sur l’histoire de la portion sud de notre continent, surtout sur la période d’avant Christophe Colomb et d’avant Cortés et sur les grandes réalisations des civilisations indigènes. . Il y a un mouvement de renaissance des nations indiennes, qui s’exprime à travers diverses manifestations. Ici comme chez nos, ils sont généralement plus pauvres que la moyenne de la population; ils le seraient encore davantage, dans les villages, s’ils ne pratiquaient pas une forme de bénévolat « obligatoire », qui contraint les hommes et les adolescents d’une communauté donnée à contribuer l’équivalent d’une journée de travail par semaine –généralement le lundi- à des travaux communautaires.
Nous retournons à Mexico le lendemain et passerons la journée au Musée National d’Anthropologie. Magnifique musée moderne, s’étalant certainement sur près de 500 mètres de long par 250-300 de large, les salles étant construites autour d’une immense place rectangulaire, qui forme donc une cour intérieure; cette place est dominée par une immense fontaine, aussi haute que les édifices de deux étages; elle est en forme de champignon ou de parapluie, d’où l’eau s’écoule comme d’un gigantesque pommeau de douche. Très beau. Et oui, Gilles, ta sœur a lu beaucoup de pancartes et s’est rincé l’œil en masse en explorant –audio-guide à la main- cet extraordinaire musée. Jusqu’à ce jour, nous n’avons visité que Tula et Teotihuacan comme sites archéologiques. Mais, ce musée nous décrit tous les sites importants à voir dans ce pays. Il y a beaucoup de reproductions de même que des objets originaux tirés des fouilles archéologiques provenant de tous ces sites. L’histoire et la vie quotidienne de ces peuples fondateurs nous est racontée, salle par salle, Aztèques (ou Tenochs ou Mexicas), Mayas, Teotihuacanos, Toltèques, Olmèques, peuples des différentes régions du territoire mexicain (ainsi que nous l’avions précédemment appris au Musée Amparo de Puebla!). Beaucoup de belles céramiques, dont le raffinement impressionne. Nous avons, encore une fois, mangé sur place : Lisette apprécie de plus en plus les plats épicés qui font partie du menu quotidien ici. Selon Richard, plus c’est piquant, plus ça tue les microbes. Pas sûr!
En ce second jour, pour éviter de nous faire remarquer, nous nous sommes habillés en mexicains : pantalons longs, souliers fermés, chemise ou blouse à manches courtes. La veille, nous étions en shorts et en sandales : nous étions des touristes facilement identifiables. Ce déguisement nous a valu d’avoir chaud, très chaud. Et encore, nous ne portions pas de manteaux comme la plupart des gens ici, car pour eux c’est l’HIVER! Cette chaleur a ajouté à la fatigue de la journée et nous avons renoncé à l’idée de rester en soirée pour voir les Ballets folkloriques mexicains, en représentation au Palacio de las Bellas Artes les mercredis et les dimanches.
Nous avons beaucoup aimé nos deux jours à Mexico. Il y a beaucoup à voir ici et nous espérons y revenir un jour. Même si nous revenions en camping, à partir de la banlieue, nous réserverions une chambre, pour la durée du séjour à Mexico, dans un hôtel au centre-ville. Il y tellement de monde dans le métro et la circulation est telle que, même comme passager, c’est fatiguant. Sans compter que, Ici comme dans toutes les grandes villes du pays, les amuseurs et « troubadours » de toutes sortes gagnent leur vie en faisant de petits spectacles dans les autobus; dans le bus de retour à Teotihuacan, mardi soir, un jeune troubadour nous a chanté un succès connu de tous : « Et j’ai crié, crié-é Aline pour qu’elle revienne… » AH! Que de souvenirs!
En terminant, une petite information au sujet des postes d’essence. Nous avions lu que peu de Pemex acceptaient les cartes de crédit. Depuis notre arrivée en sol mexicain, 90% des pleins d’essence ont été payés avec notre visa; ça change donc. Et cela nous permet de moins fréquenter les guichets automatiques.
Dans un autre ordre d’idées, nous tenons à féliciter notre filleul Jean-François pour son acquisition d’un Vanagon avec lequel il devrait faire de merveilleux voyages. Bienvenue dans la famille des westfaliens. Nous souhaitons à Jean et Lucie – les vendeurs du dit véhicule- de trouver rapidement le « remplaçant «Eurovan » convoité. Sinon, tous les westfaliens vont s’ennuyer de vous, Lucie, Jean, Catherine, l’été prochain!
Jeudi 19-02-2009- TEOTIHUACAN-CHOLULA- 132 km
De retour près de Puebla, la ville des Jetta, pour nous rapprocher un peu de notre prochaine destination. Nous partirons demain pour Oaxaca, où nous passerons quatre jours. Au programme aujourd’hui : repos et rédaction du blogue; choses faites!
À partir de Teotihuacan, bus et métro nous amènent au Zocalo de Mexico, qui se nomme aussi Plaza de la Constitucion. Stéphane s’attendait à une place avec arbres et fleurs; ce sont des dalles de ciment qui recouvrent la place. Première petite déception. Deuxième surprise: la cathédrale est croche, surtout son Sagrario (Sacristie, en fait grosse chapelle latérale). En marchant à l’intérieur de la cathédrale, on perçoit facilement que ce n’est pas du tout droit. Mexico est bâtie sur un ancien lac asséché. Tout Mexico a des problèmes car le fond n’est pas solide; cela, sans compter l’effet du tremblement de terre de 1985.
Un trajet de 3 heures dans un Bus Turistico change rapidement les préjugés que nous avions sur cette méga-métropole. Dans le très vaste centre historique et dans les quartiers avoisinants que nous avons parcourus, Il y a beaucoup d’arbres, de places fleuries, de grands boisés, de belles et larges avenues, de belles fontaines, de nombreux monuments. C’est une très belle ville. C’est aussi très propre; beaucoup de balayeurs de rues sont constamment à l’œuvre; en plus, dans toutes les villes et villages, ici, les gens font ce que le maire Tremblay aimerait voir les Montréalais faire : ils balaient leur perron, le trottoir et la rue itou. Nous avions constaté cette propreté dans le métro : un métro qui par ailleurs, roule sur des pneus comme à Montréal; d’ailleurs certains wagons ont été fabriqués par Bombardier.
Aux abords de la ville, il y a du monde partout. La circulation est toujours dense; l’heure de pointe ne semble plus finir et est particulièrement sensible au retour : 45 minutes d’autobus pour nous rendre le matin vers 10h00, 1h40 le soir au retour; qu’on parte du terminus à 18h30 ou 19h30 ne fait aucune différence; à 21h00 sur le périphérique, c’est encore la congestion totale; ne pas s’y aventurer si on est un touriste, surtout avec un camper. Et on ne parle pas des trains du métro aux heures de pointe : faut pas être claustrophobes; nous avons laissé passer quelques trains, trop bondés, et n’avons pas trop souffert de cette densité. Il faut dire que plus de 6 millions de personnes utilisent le métro chaque jour. Dans la ville, les artères principales sont aussi très achalandées, mais on a malgré tout une sensation d’espace, tant sont larges les avenues, les places publiques et les espaces verts.
Nous visitons le Palacio de Bellas Artes, réputé pour les œuvres de six grands muralistes du Mexique qui en ornent l’intérieur, de style Art Déco; l’édifice lui-même, en marbre de Carrare, est très beau et date du début du XXè siècle. Nous prenons un dîner léger au restaurant du Palacio : « budin poblano », une sorte de lasagne à base de tortillas empilées, avec une garniture de poulet à la sauce verte – piment poblano et pesto de coriandre; délicieux; le « pastel chocolate intenso » déçoit cependant Stéphane, car le goût du chocolat est loin d’être intense; ça est loin de battre son fameux morceau dégusté lors du Carnaval de Québec, il y a deux ans, n’est-ce pas, André et Manon? Ainsi sustentés, nous marchons rapidement vers le Palacio National, où il faut voir les murales qui racontent l’épopée du Mexique, telle qu’illustrée par Diego Riviera, dans des fresques auxquelles il a consacré 25 ans de sa vie.
Ici, palais du gouvernement oblige, on nous fouille; on saisit le canif de Stéphane; on exige une pièce d’identité avec photo; nous présentons comme pièce d’identité notre copie de permis de conduire qui date de Ciudad Victoria; ça passe comme dans du beurre! Lisette engage une guide qui a à peine un peu plus de 30 minutes avant la fermeture pour nous raconter les fresques. Comme c’est moins cher et surtout, plus rapide en espagnol (la guide parle aussi français), Lisette l’a engagée en espagnol. Pauvre Stéphane. Son débit rapide sera pour lui très éprouvant; se concentrer pour un vieux retraité en fin de journée comme ça, c’est dur. Mais la charmante guide devait utiliser des mots simples, le vieux a compris 80% des explications. Peut-être que les œuvres parlent aussi beaucoup. Donc un crash-course sur l’histoire des peuples qui ont formé le Mexique d’aujourd’hui; sur les héros de l’indépendance (1810); sur les défenseurs de la patrie lors de la guerre contre les États-Unis (1847), ayant abouti au traité qui a permis à l’envahisseur d’acheter – pour une somme ridicule- et d’annexer une grande partie du territoire mexicain (Californie, Nouveau-Mexique, Texas, Utah, Arizona, une partie du Colorado); de la Révolution de 1910, pour renverser le régime économiquement libéral mais politiquement répressif de Porfirio Diaz. En sortant, sur la place du Zocalo, nous avons droit à une représentation impromptue d’une danse cérémonielle réalisée par des danseurs et danseuses indigènes en vêtements d’apparat.
C’est incroyable que, dans les écoles d’Amérique du Nord, on nous enseigne si peu de choses sur l’histoire de la portion sud de notre continent, surtout sur la période d’avant Christophe Colomb et d’avant Cortés et sur les grandes réalisations des civilisations indigènes. . Il y a un mouvement de renaissance des nations indiennes, qui s’exprime à travers diverses manifestations. Ici comme chez nos, ils sont généralement plus pauvres que la moyenne de la population; ils le seraient encore davantage, dans les villages, s’ils ne pratiquaient pas une forme de bénévolat « obligatoire », qui contraint les hommes et les adolescents d’une communauté donnée à contribuer l’équivalent d’une journée de travail par semaine –généralement le lundi- à des travaux communautaires.
Nous retournons à Mexico le lendemain et passerons la journée au Musée National d’Anthropologie. Magnifique musée moderne, s’étalant certainement sur près de 500 mètres de long par 250-300 de large, les salles étant construites autour d’une immense place rectangulaire, qui forme donc une cour intérieure; cette place est dominée par une immense fontaine, aussi haute que les édifices de deux étages; elle est en forme de champignon ou de parapluie, d’où l’eau s’écoule comme d’un gigantesque pommeau de douche. Très beau. Et oui, Gilles, ta sœur a lu beaucoup de pancartes et s’est rincé l’œil en masse en explorant –audio-guide à la main- cet extraordinaire musée. Jusqu’à ce jour, nous n’avons visité que Tula et Teotihuacan comme sites archéologiques. Mais, ce musée nous décrit tous les sites importants à voir dans ce pays. Il y a beaucoup de reproductions de même que des objets originaux tirés des fouilles archéologiques provenant de tous ces sites. L’histoire et la vie quotidienne de ces peuples fondateurs nous est racontée, salle par salle, Aztèques (ou Tenochs ou Mexicas), Mayas, Teotihuacanos, Toltèques, Olmèques, peuples des différentes régions du territoire mexicain (ainsi que nous l’avions précédemment appris au Musée Amparo de Puebla!). Beaucoup de belles céramiques, dont le raffinement impressionne. Nous avons, encore une fois, mangé sur place : Lisette apprécie de plus en plus les plats épicés qui font partie du menu quotidien ici. Selon Richard, plus c’est piquant, plus ça tue les microbes. Pas sûr!
En ce second jour, pour éviter de nous faire remarquer, nous nous sommes habillés en mexicains : pantalons longs, souliers fermés, chemise ou blouse à manches courtes. La veille, nous étions en shorts et en sandales : nous étions des touristes facilement identifiables. Ce déguisement nous a valu d’avoir chaud, très chaud. Et encore, nous ne portions pas de manteaux comme la plupart des gens ici, car pour eux c’est l’HIVER! Cette chaleur a ajouté à la fatigue de la journée et nous avons renoncé à l’idée de rester en soirée pour voir les Ballets folkloriques mexicains, en représentation au Palacio de las Bellas Artes les mercredis et les dimanches.
Nous avons beaucoup aimé nos deux jours à Mexico. Il y a beaucoup à voir ici et nous espérons y revenir un jour. Même si nous revenions en camping, à partir de la banlieue, nous réserverions une chambre, pour la durée du séjour à Mexico, dans un hôtel au centre-ville. Il y tellement de monde dans le métro et la circulation est telle que, même comme passager, c’est fatiguant. Sans compter que, Ici comme dans toutes les grandes villes du pays, les amuseurs et « troubadours » de toutes sortes gagnent leur vie en faisant de petits spectacles dans les autobus; dans le bus de retour à Teotihuacan, mardi soir, un jeune troubadour nous a chanté un succès connu de tous : « Et j’ai crié, crié-é Aline pour qu’elle revienne… » AH! Que de souvenirs!
En terminant, une petite information au sujet des postes d’essence. Nous avions lu que peu de Pemex acceptaient les cartes de crédit. Depuis notre arrivée en sol mexicain, 90% des pleins d’essence ont été payés avec notre visa; ça change donc. Et cela nous permet de moins fréquenter les guichets automatiques.
Dans un autre ordre d’idées, nous tenons à féliciter notre filleul Jean-François pour son acquisition d’un Vanagon avec lequel il devrait faire de merveilleux voyages. Bienvenue dans la famille des westfaliens. Nous souhaitons à Jean et Lucie – les vendeurs du dit véhicule- de trouver rapidement le « remplaçant «Eurovan » convoité. Sinon, tous les westfaliens vont s’ennuyer de vous, Lucie, Jean, Catherine, l’été prochain!
Jeudi 19-02-2009- TEOTIHUACAN-CHOLULA- 132 km
De retour près de Puebla, la ville des Jetta, pour nous rapprocher un peu de notre prochaine destination. Nous partirons demain pour Oaxaca, où nous passerons quatre jours. Au programme aujourd’hui : repos et rédaction du blogue; choses faites!
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